A la tête depuis 2011 d’une véritable fabrique culturelle, la Friche la Belle de Mai qui essaime sur tout un quartier et la ville de Marseille, Alain Arnaudet maintient avec rigueur cette difficile équation entre lieu de création et espace de vie et de mixité sociale. Pour lui la pandémie est une alerte dont l’impact appelle à une prise de conscience collective et à un sursaut de l’offre culturelle au sortir de la crise.