Pierre Élie de Pibrac est parti vivre plus de huit mois à Cuba avec femme et enfants et s’est intéressé à ces coupeurs de Cannes à sucres, autrefois âmes de la nation quand le régime sortait de la Révolution, aujourd’hui, petit peuple appauvri et surveillé. Cette exposition sur ce plan est une véritable révélation et une prise de position in fine sur cette réalité des quotidiens où l’ombre grise a gangréné les soleils prometteurs d’autrefois.