En entrant dans la galerie du centre culturel on est frappé par la scénographie qui distribue les six expositions, agréable, ouverte, fluide. Le premier regard est allé à Entrevues de Gilles Coulon sur fond noir, au centre de l’espace et à ses tirages de moyennes dimensions. The Beauty is always strange de Justine Tjallinks attire oeil par ses portraits de lumière, d’une esthétique très « fashion », très mode, où les influences picturales de la peinture flamande sont rehaussées de la modernité que l’image de mode porte quand elle est bien réalisée.