Un double voyage a commencé, celui de notre déambulation et celui de notre regard qui entre maintenant dans la nuit talismanique de Juliette Agnel. Nuit magnifiée et féerique de ses étoiles, cosmique, présences magiques avérée du chant de la nuit dans le berceau céleste, sous la voûte essentielle, comme au commencement des temps.
Car qu’est au fond Taharqa, sinon la réminiscence profonde d’une terre sous la nuit du désert dans un peuplement d’étoiles, sous la lumière augurale de la lune, argent et sable, où d’antiques colonnes défient le temps de leur force pétrifiée au chant su et oublié.